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 [sans titre]- Butterfly (poèmes en vrac)

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IXO
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IXO


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MessageSujet: [sans titre]- Butterfly (poèmes en vrac)   [sans titre]- Butterfly (poèmes en vrac) Icon_minitimeLun 21 Fév - 20:02

Je vais essayé de respecter au mieux la disposition et les couleurs utilisées par Butterfly:


Ah ! ces enfants…
Leur Beauté est divine,
Leur Joie est irrationnelle !

Car, pour un enfant, le Problème existentiel n’existe pas :
La vie est infinie, sans soucis ni malheurs.
Comme nous aimerions garder cette enfantine âme
Si simple mais si évoluée !

Les voir naître nous rajeunit,
Tandis que, dès qu’ils commencent à grandir,
On se sent encore vieillir.
Or, l’enfant nous enseigne la sagesse ailée, légère et célère,
Qui ne serait réservée qu’aux personnes ayant vécu beaucoup d’années.



Descendance, tu es le fruit d’un amour sucré, récolté et exprimé. Tu offres la joie d’un spectacle sans fin, où les éléments affectifs ne font que passer incessamment, chacun étant pourtant différent, jusqu’à la fin des temps.
Tu transmets de foyers en foyers d’une même demeure une vie particulière et précise. Ce sont ces multitudes de vies qui font la richesse des mondes, enfants de Dieu, Père éternellement amoureux de chacun, chacun voulant ajouter sa couleur au tableau des cieux.
Aucun ne peut vivre sans t’avoir connue, sinon il risquerait de vivre dans une lassitude, une tristesse et une mélancolie sans fin. C’est pourquoi, tous se pressent à ta porte espérant être les premiers à te rencontrer. Seulement ils ignorent que tu peux être partout à la fois, donnant vie à plusieurs âmes simultanément .



Poésie : fait d’écrire d’une certaine manière, me diraient les gens fermés.

Moi, les yeux ouverts, je leur répondrais : Ignorants, incapables, vous qui êtes dénudés de sentiments, ne pouvez comprendre ! La poésie n’est pas le fait d’écrire mais tout d’abord le fait de penser ! Pour ceux qui en sont possédés, c’est le fleuve de la vie, parfois ruisseau, parfois torrent. On ne peut s’en écarter, s’en échapper, l’éviter ; on ne peut que s’en abreuver.



Les immenses stalactites, les pics rocheux
Me font penser aux larmes de mon cœur versé.
La faune endormie me laisse seul et malheureux.
La déchirure des souvenirs du passé !

Le soleil réchauffe la faune. Mais pourquoi donc ?
Qui est caché derrière ? Qui joue avec la vie ?
Qui décide de la mort ? Comment fait-il donc ?
Comment arrive-t-il à déchirer des vies ?





L’eau arrive tout en haut,
Elle trouve que c’est beau
Et chute mais elle lutte,
Si près du but, dans sa chute.

L’eau coule, roule sur les galets,
Un clapotis sonne et résonne
À mon oreille, il vient et donne,
Tout en embrassant les reflets.

L’eau chute depuis les nuages en coulants,
Et roule sur la terre qui s’abreuve de son eau
Claire. Elle poursuit son chemin jusqu’à l’Océan.
La nymphe sort de l’eau et part sur mon bateau.



Que va devenir le vieux cheval noir de toute la mort qui s’empare de lui peu à peu ? Le piteux destrier de la mort qui s’accapare son sort. Lui qui est à l’agonie pourtant résiste encore.
Soudain, il se relève et peu à peu redevient neige comme avant. Au moindre vent il est poussière et se libère de la saleté qui l’emprisonnait. Puis du vent surgit un oiseau qui part aussitôt en laissant ses ailes de parchemin sur un écrin de nuage.
Le cheval, galopant à la nage, aidé par une lumière, va les ouvrir. Il s’envole vers le soleil mais il ne se noie pas. Pourtant, tel Icare, il a été enfermé dans le labyrinthe de la Mort d’où il s’est échappé pour retrouver la lumière. La lumière qui l’a accompagné, réconforté et réchauffé. La lumière qu’il a encore.



Ton cœur

Le cheval fougueux dans l’enclos

De ton âme.

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