Un bout d'homme

Un bout d’homme

Je me promenais tranquillement dans la rue, ruminant mes pensées. J’étais presque arrivé chez moi. Chez moi c’est la rue des poubelles, et oui, je suis un clochard. Il y en a trois : une grosse vert, une petite bleue et une grande rouge. Je tourna à gauche et longea les poubelles. Au bout de la ruelle je vit Mélanie. C’était ma meilleure amie. Elle se faisait attaquée par trois grand homme au crane rasés.

Je m’écriais :
-« Mélanie ? Qu’est ce que tu fait ? »
Mélanie fit la sourde oreille.
Les hommes se rapprochèrent.
-« Mélanie ! Tiens bon, j’arrivent »m’écriais-je de nouveau.

Je me précipitais contre les trois bonhommes. Pour une fois j’étais content d’être petit. Ils ne me virent même pas arriver sur eux. Je m’accrochais à la jambe du plus grand. Celui- ci poussa un cri aigu et se retourna. Il m’attrapa par la peau du coup et me jeta trois mettre plus loin. Finalement je regrettais vraiment d’être tout petit. Comme je ne pouvais rien faire de plus pour Mélanie, j’alla me cacher derrière une des poubelles. Je pourrais peut-être intervenir plus tard.
Le plus grand, qui semblait être le chef des trois hommes déclara :
-« Mike, va faire le guet pendant que Jules et moi on fait sa fête à cette petite garce !
-Bien chef !», répondit l’autre.

Le dénommé Mike commença à traversait le ruelle. Si je ne bougeais pas tout de suite, il me verrait lorsqu’il arriverait au niveau des poubelles. Le problème était que je n’arrivais pas à bouger, tétanisé par la peur. Il allait m’apercevoir quant il se retourna pour crier à ses copains
-« Vous n’oubliez pas de m’en laisser un bout, hun ?
-Va faire le guet, lui répondit sèchement le chef, ne t’inquiète pas. »

Mike repris son chemin en directions des trois poubelles. Il bougonnait tout bas que c’était injuste que ce soit lui qui monte toujours la garde. Il arriva devant les trois poubelles. Il les contourna et s’assit sur la plus grosse.

Mike du me sentir remuer sous ses pieds, car il les écarta et ne réagis pas en me voyant filer.
-« Assassin ! » feulais-je en courant le plus vite possible du haut de mes quatre petites pattes.



de IXO il me se trouve dans l'incapacité d'envoyer se message lui même

atten je l'apelle..IXOUNET...vient voir par ici c'quelle a mit Phil... a il arrive...

comme dirait gandalf: un poète n'est jamais en retard, jamais a l'avance, il arrive pile poil dans les temps.