dialogue avec ma conscience numero 1

j'ai décidé d'écrire des dialogues avec ma conscience. Celui ci n'est pa d'une grande qualitté littéraire mais bon...
en plus, ce n'est pas un poème, mais je ne savais pas ou le placer.
Et si...
Si je n'arrivais pas?

-Tu y arriveras

mais si ?
Que se passerait-il alors, si je ne pouvais pas ?

Tu y arriveras te dis-je.

Je sais, conscience
mais il existe toujours un risque...

-ce risque tu le prend en doutant de toi.

Mais si je ne doute pas, conscience, comme j'aurais l'air moche
Sûr de moi et arrogant

-Ta seule arrogance est ta modestie faussée,
Cesse maintenant de te tourmenter
Le doute a ses limites
Où la raison fait faillite
Tu y arriveras.
Parce que tu le voudras.

Mais si ? Si ?
Peut-être que je ne voudrais pas.
Pas assez fort, pas assez bien.
Peut être alors n'y arriverais-je pas ?

-As-tu confiance en moi ?

Oui, conscience.

-Alors tais-toi, et écoute moi
Si tu as confiance en moi
Tu as confiance en toi
Il faut juste que tu saches, mais tu le sais déja
Que tu ne peut être sûr
Que si tu te sais bas,
Sur un piédestal frêle
Que tu peux briser d'un doigt.
Mais tu y est sur ce piédestal, il faut que tu comprenne,
Tu y est mais il faut que tu l'entretienne.
Sinon tu tomberas.

A présent, laisse moi.
Moi aussi j'ai confiance en toi,
Alors, s'il te plait,
Ne me déçois pas.

Non, conscience, je ne te décevrais pas.
Je ne te décevrais pas...
Mais si jamais je n''y parvenait ?

Tu doute encore.
Cesse, maintenant,
et dors.

je croyais que c'était moi a ta conscience...

dis pas ca,crois moi,il n'y a rien de pire que d'etre la conscience de quelqu'un d'autre
on se sent pas écouté c'est terrible

je sais je sais; et le pire c'est que quand ils font les bêtises contre lesquel tu les a prévenus, sa retombe une fois sur trois sur toi. et la fois suivante.... bah ils t'écoute toujours pas!

désolé de te déçevoir, mais tu n'es pas ma conscience ! heureusement que je ne la connais pas, sinon j'aurais l'impression de ne plus avoir de libre arbitre !

des fois je suis ta conscience! malheureux, que ferais tu sans moi...