Petite introduction au monde des Vampires...

Mesdames et Messieurs les Vampires et les Calices voici un petite introduction au monde du forum. Cela vous permettra de mieux entrer dans l’univers et dans la peau de votre personnage (soit la votre quoi…). Voici de quoi vous éclaircir les idées :


C’est un temps de guerre entre les Hommes, les Nains et les Elfes, ils se battent comme des bêtes féroces emplies de rage. Les pays entier sont devenus des champs de batailles, qui font rage continuellement. Ils n’ont pas une minute de répit leur instinct leur disant de taper encore, toujours plus fort, toujours plus mortellement. Les Vampires se gardent bien d’intervenir dans ce conflit qui les arrange d’une certaine manière, mais qui devient tout de même lassant.
Les Nains, les Elfes, mais surtout les Hommes vivent pour la plupart, en plus de la Guerre, dans la peur continuelle de rencontrer un Vampire-chasseur. Ceux là sont de ceux qui s’accrochent à la vie, juste pour leur ego. Mais il est vrai, les statistiques le prouvent, que les victimes des Vampires-chasseurs s’en sortent rarement indemnes. Dans quatre vingt quinze pour cent des cas la victime mourre, dans quatre pour cent elle survit avec de multiples lésions et blessures, handicapes morales et physiques…et dans un pour cent des cas elle devient le Calice du Vampire qui l’attaque. Aussi il arrive fréquemment que des voyageurs de grands chemins trouvent sur leur route, dans les bas fossé ou dans les forêts des victimes sanguinolentes, parfois de plusieurs jours, à peine cachées ou écartées du passage. Les proies favorites des Vampires-chasseurs sont les Hommes, car ils courent moins vite que les Elfes, et tapent moins fort que les Nains. Parfois ils se rabattent quand même sur les Nains, au sang plus âpre mais beaucoup plus savoureux et long en bouche, ou encore , mais beaucoup plus rarement sur les Elfes, à qui la magie de la Nature donne un goût spécial ( a savoir : le Master Vampire ne les apprécie pas du tout).(merci....)
Aucun Vampire n’ose le dire mais le jour où la guerre cessera entre les trois peuples les Vampires-chasseurs ne seront plus aussi libres dans le choix de leurs proies car les hommes se révolteront plus facilement une fois rassemblés et unis sous un seul et même étendard.
Mais tous les Vampires ne sont pas chasseurs et tous les chasseurs ne le restent pas. Lorsque les chasseurs, en train de se repaître, trouvent que la victime " a bon goût " ou est intéressante pour une raison X ou Y, celle-ci avait alors une chance de devenir le Calice de ce Vampire.
La première définition que l’on m’a donnée d’un Calice est " en fait c’est un frigo sur patte pour Vampire ", je ne citerais pas la source qui se reconnaît. Mais en temps que Calice je voudrais, même si l’expression si dessus est tout à fait ‘’correcte’’, je voudrais donner une définition un peu plus élaborée d’un Calice. Au début les calices sont des verres dans lesquels on boit (toutes races confondue), puis le mot passe pour représenter des coupes sacrées de certaines religions. On comprend donc que les Hommes donnent le nom de Calice aux êtres vivants acceptant ou pouvant servir de " frigo sur patte pour Vampires". D’où les expressions ‘’boire le Calice’’ qui signifie se résigner à faire, à souffrir ce que l’on peut empêcher et ‘’boire le Calice jusqu’à la lie’’ qui signifie souffrir une longue douleur, une humiliation complète, éprouver un malheur dans toute son étendue. Souvent, lors de la première morsure d’un Vampire à son Calice, le Calice peut être malade (nausée, maux de têtes) durant deux ou trois jours, de même, pour les Vampires les plus sensibles, ils peuvent se trouver mal pendant une ou deux heures. L’histoire nous montre que plus le Vampire et le Calice sont malade, plus le lien mentale qui les unis est profond. Il n’y a pas d’âge où il est interdit d’avoir un Calice, mais il est conseillé d’en chercher un à partir de Ancillae. Ancillae parce qu’à partir de cet âge le Vampire devient vraiment autonome et son appétit grandit énormément. Aussi, pendant son enfance, le petit Vampire se repaît des restes des victimes de primogéne ou de petite proies qu’on lui sert.
Les Hommes sont les proies favorites des Vampires-chasseurs, tout les mondes le sait, et je l’ai déjà dit au dessus. Certains, des Hommes, pour satisfaire cette idée qu’ils ont de gagner de l’argent pas n’importe quels moyens, entreprennent un énorme commerce de chair : ils vont chercher les cadavres des champs de batailles pour les découper et les présenter sur des plateaux d’argents aux Vampires-chasseurs fainéants ou trop fatigués, faibles et/ ou trop vieux pour chasser (mais de la à ce qu’un Vampire ne puisse plus chasser à cause de son âge, les poules auront des dents elles aussi( bien dit, ont est immortels!)). Ces Hommes vont parfois même jusqu’à déterrer des cadavres fraîchement enterrés. Ce métier rapporte beaucoup, d’argent et de haine de la part des voisins de se genre d’auberge, et est classé parmi les métiers les plus risqués : le jour où se pointe un Vampire ou une bande de Vampires affamée que rien ne peut calmer et qui n’ont pas la patience d’attendre, alors on peut fermer l’auberge pour toujours. Ce commerce ignoble ne fait qu’accentuer la peur que les Vampires inspirent à tort aux êtres vivants. Les pauvres familles aux nombreux larbins n’hésitent pas la moindre seconde à vendre leurs enfants contre une ou deux pièces d’argent. Les enfants sont ensuite vendus, et là ils se retrouvent souvent sur les plateaux d’argents dont nous avons parlés au dessus.
Parlons maintenant un peu plus des Vampires. Ils vivent reculés des champs de batailles sanglants des Hommes, Elfes et Nains. Dans un pays où les grottes sont nombreuses et le paysage changeant selon son humeur. Les vampires ne sont ni nomades ni vraiment sédentaires, ils vivent en petites communautés de quinze à trente personne. Dans chaque communauté on peut trouver un Mentor Vampire et un Mentor Calice qui apprennent aux jeunes Vampires et Calices ce qu’ils doivent savoir. La seule véritable citée se trouve au cœur du pays, elle ne sert que de point de rendez vous lors de réunions importantes entre chefs de communautés ou autres dirigeants de pays externes. De plus dire que les Vampires sont mauvais est faux, et dire qu’ils sont gentils l’est aussi, mais moins. Si par méchant on entend " ont des sentiments radicales envers les autres races et ne pensent qu’à les exterminer " alors oui, il y a sûrement des Vampires méchants, mais dans se cas il y a aussi des Hommes, des Elfes, et des Nains qui sont méchants. Si par méchant on entend " ils se nourrissent d’être vivants " alors oui ils sont méchants, mais encore un fois de la même manière que les Hommes, les Elfes, et les Nains. Si par méchant on précise " manger des êtres capables de penser et de ressentir des émotions comme des Hommes, des Elfes et des Nains " alors oui ils sont méchants. Mais se n’est pas par mauvais esprit, juste par une loi de la Nature qui dit que les Vampires se nourrissent de sang frais, d’Homme, d’Elfes et de Nains (et parfois autres petites bestiole au cœur qui bat). Mais les Hommes aussi mangent de la viande, les Elfes aussi mangent de la viande, et les Nains aussi mangent de la viande, à chacun son espèce. Donc comme pour les Hommes, les Elfes et les Nains (rappelons que le mot cannibale n’a pas été inventé pour des Vampires, mais par des Vampires pour des Hommes, des Elfes et des Nains mangeant d’autre Hommes, Elfes et Nains) il y a de gentils Vampires, aux bonnes intentions(ne manger que lorsque c’est nécessaire, faire attention à son prochain même s’il peut s’agir d’une proie potentielle…) et de méchants Vampires, aux mauvaises intentions (faire souffrir sa victime avant de l’achever, ou la manger vivante…).
Et pour information il est très à la mode de mettre, chez les Vampires et surtout chez les seigneurs de Guerres Elfes et Hommes qui veulent se faire remarquer, quelques gouttes de sang Nanique dans son vin pour le diluer, cela lui donne plus de goût et de force.

c'était par apport à ce forum:
http://inkwyna.xooit.com/index.php
maintenant abandonné par son créateur hélas. c'était le premier forum sur lequel je suis allée. en fait les membres étaient soient des vampirs, soient des calices (frigo sur patte comme je les appelles) de vampire, et puis me demandaient pas le but du forum, j'ai pas compris ^^ en tt cas c'était marrant (allez voir les cours pour vampirs et calices...)

Ma rencontre avec mon Vampire:
La neige blanche m’aveuglait, malgré la noirceur de la nuit.
Mon souffle chaud créa un nuage blanc dans le noir. Mon souffle court. Mon bout de souffle. Et la fin de ma vie.

Il faisait froid. Je ne sentais plus ni mes mains, ni mes pieds, mes bottes étaient trempées par la neige, mes gants étaient tombés pendant ma courses. Mes habits étaient lacérés, déchirés et humides. Mes poumons me brûlaient, mon cœur battait si fort que je le croyais prêt à exploser à chaque instant, à chacun de mes mouvements. Je courais depuis combien de temps maintenant ? une heure ? cinq minutes ? comment savoir ? Mes joues étaient en feu elles aussi, rougies par le froid. Mais je ne les voyaient pas, et si je l’avais pu je ne me serais pas arrêtée. J’aurais continuée à courir, comme je courais depuis tellement longtemps. Vain espoir. A chaque fois que je pensais Le distancer je ressentais a nouveau sa présence dans ma tête et à travers tout mon être. Ces choses là ne vous lâchent jamais. Mes pas crissaient dans la neige, bien que légère et rapide l’empreinte qu’ils laissaient étaient facilement repérable pour Lui. Je tournais à gauche, suivant un chemin traçait pas des bêtes sauvages. Avec un peu de chance j’en croiserais une et Il me lâcherais. Mais vu son ardeur et son ténacité s’était peine perdue. De plus il n’y avait aucunes traces de bête dans la neige, j’étais seule. Seule avec lui. Seule dans une forêt qui n’était pas la mienne. Et bien que se soit inutile ma tête continuait à se retourner toutes les cinq minutes pour chercher de ses yeux aveuglés par la neige et affolés où est-ce qu’Il pouvait se cacher. Soudain le léger frottement que mon poursuivant produisait s’effaça dans le silence des arbres. Avait Il abandonné ? Nan, impossible. Tout en courant toujours je me retournais pour voir se qui se passait derrière moi. Plus un bruit sauf ma respiration. Et les battements de mon cœur. Ils étaient tellement fort que je les entendais résonner sur les arbres. J’hésitais un moment pouvais-je m’arrêtais sans risque ? un dernier coup d’œil par derrière, mais je ne vit rien. Pas de Il. Et d’ailleurs je ne vit pas non plus la racine au milieu du chemin. Je m’étalais de tout mon long en travers du chemin en me prenant les pied dans cette racine qui dépassait encore du tapis de neige blanche. Je tombais dans la neige, un peu plus frigorifiée, un peu plus a bout de souffle. Ma tête était, à mon avis sur le point d’exploser. J’avais déjà était blessée mais je n’avais jamais eu aussi mal. Maintenant je ne sentais vraiment plus rien tant j’était transit. Tant la neige me brûlait. Je m’étais à moitié assommée contre un rocher qui pointait le bout de son nez hors de son écharpe de neige. Je ne sentais rien mis a part le filet de sang chaud qui coulait sur ma joue depuis ma tempe droite. Du sang chaud. Du sang rouge. Du sang rouge qui clairsemé de pois rouge la neige blanche. J’avais si mal, mon cœur battait si fort, mes poumons respiraient si vite ! je me trouvais aux frontières de l’inconscience. Avec mon reste de courage et beaucoup de patience je me retournais, mais mes yeux ouverts ne voyaient plus. Des pas feutrés, moins que les miens, mais quand même. Crissement de neige. C’est a peine si je senti ses deux mains fraîches et douces me relever. C’est a peine si je les senti me mettre dans une position beaucoup plus confortable. C’est a peine si je les senti pencher ma tête délicatement vers la gauche. Mais je sentis mon sang a moitié coagulé sur ma joue dévier sa course vers le sol pour se retrouver dans ma bouche. Son goût salé-sucré si spécifique, son odeur que je connaissais si bien. Cette matière liquide si étrange. Que je m’était jurée de ne plus jamais voir, de ne plus jamais goûter, de ne plus jamais sentir. C’est a peine si je sentis, dans mon voyage vers l’inconscience, engourdie par le froid, ces deux dents s’enfoncer dans mon épaule, jusqu’au muscle richement irrigué de capillaires sanguins, tout agitaient par ma course folle, et pomper avidement mes dernières forces.
Mais je n’avais plus peur maintenant. Ankylosée, je finit de m’évanouir.