Les Etoiles...

je me suis enfin décidée alors voilà les Etoiles qui arrivent. encore une fois s'il vous plaît pas de copier coller, cette histoire risque d'être publier ( risque n'est pas vraiment le mot, il vaudrait mieu dire pourrait être) je vous fait confiance. bonne lecture.

écrit par ( ne pas regarder le spoiler si vous pouvez vous en passer)

Spoiler:

pourrait être publié, ainsi que la suite.


Lettre de Mr Rais Jevuso, Psychologue.

Chère Mme,
Je ne sais comment vous expliquer sans vous effrayer les problèmes de votre fille Sophie.
Le fait est que, bien que sachant parfaitement faire la différence entre la réalité et l’imaginaire, votre fille est perdue dans son imagination. Aussi elle ne se fait aucun ami. Si la situation persévérait, je dirais que ses excellents résultats scolaires pourraient en subir les conséquences. C’est une jeune fille joyeuse, pleine de vie, polie, intelligente, bref, tout ce dont des parents peuvent rêver. Mais justement, c’est elle qui au final rêve trop et perd le fil de notre temps.
Je pense qu’il faudrait la secouer, pour lui faire prendre conscience que l’imagination s’arrête dans sa tête, jamais une aventure épique comme celles dont elle rêve ne se produira dans son entourage. Il faut lui faire comprendre que ça ne sert à rien de rêver autant qu’elle ne le fait, car cela ne lui fait que perdre son temps, et le jour des désillusions arrive vite. Il faut lui dire que les Fées ça n’existent pas, les Elfes ça n’existent pas, les Dragons ça n’existent pas, les potions magiques et les preux chevaliers, ça n’existent pas !
Ne vous laissez surtout pas entraîner dans ses délires, contrôlez ses lectures et les films qu’elle regarde, je vous déconseillerez le genre fantastique et la SF, les dessins animés. Evitez les polars sanglants, concentrez sa culture sur les films romantiques du style « Autant en emporte le vent ». Elle joue à Peter Pan, mais Peter Pan, c’est une histoire, et ça je pense qu’elle l’oublie. Faites lui bien comprendre et cela vous rendrez service, à vous, à elle, mais aussi vu son extraordinaire potentiel à la France, car votre fille est réellement promise à un bel avenir.
Amicalement,

Rais Jevuso, psychologue


Lettre de Fanny Dasce

Ma chère Julie,
Je n’en peu plus. Je ne parle pas de mes deux cocos qui se disputent tout le temps, ou de la plus jeune qui grogne et pleure dès qu’on l’approche. Je parle de la grande. Je ne comprends pas comment elle fait pour être aussi irréprochable et en même temps être perdue corps et âme dans son imagination. Elle est si parfaite qu’on dirait une machine : aucun geste inutile, aucune bêtise, elle fait le minimum mais à la perfection. Tu vas me demander pourquoi je me plains ? C’est trop parfait pour être naturel, j’ai l’impression qu’elle nous déteste. Elle est sur un autre monde et elle n’invite personne à la rejoindre. Je m’y serais bien invitée mais notre psy nous à dit de bien faire comprendre à Sophie qu’il fallait qu’elle arrête de rêver si elle voulait continuer à avoir une belle vie. Elle insaisissable, personne n’est plus ailleurs qu’elle. Tu te rends compte qu’elle suce encore son pouce et qu’au lieu de me raconter ses problèmes à moi, sa mère, elle les chuchote à l’oreille de ses peluches ! Nan mais, suis-je si indigne ? Jusqu’à quel point est-ce qu’on ne la comprend pas ? Est ce réellement un problème qu’elle rêve à longueur de temps ? D’après toute les personnes de mon entourage oui. Je n’en peu plus, Elle a trop d’imagination, elle n’est pas humaine, c’est une extraterrestre.
Gros bisous, Fanny

Lettre de Mme C. Damen, professeur de français et professeur principale de Sophie Dasce.

Chère Mme,
Je serais heureuse de pouvoir vous rencontrer pour que nous parlions de votre enfant, Sophie.
Bien que ses résultats scolaires soient irréprochables, son attitude en classe est pour le moins bizarre. Elle ne parle pas, dieu merci, avec ces camarades de classe, mais passe son temps à dessiner sur ses cahiers, non seulement en français, mais aussi en math (des créatures qu’elle appelle Licorne…), en histoire…
Elle m’a dit qu’elle voyait un psychologue pour résoudre se genre de problème, mais elle ne voit pas ce qu’il y a de gênant dans cette situation, elle me l’a avouée d’elle même. Elle accuse aussi son psy de lui interdire de rêver.
Je suppose que vous avait saisit la gravité de la situation et que vous avez compris qu’il était vraiment nécessaire que nous nous voyions. Cette jeune fille a un potentiel extraordinaire, il serait vraiment dommage de le gâcher pour si peu.

Cordialement, Mme. C. Damen.

Lettre de Sophie Dasce, à elle même

Chère moi,
De moi à moi je voulais te dire que je me sentais un peu plus qu’un peu à part de mes camarades de classe. Je n’ai que quelques amies, mais aucune dans ma classe, et je n’ose les présenter à ma mère, que dirait-elle si elle savait que je suis amie avec des gens du même âge que moi ? C’est dur d’avoir un an d’avance. Non pas d’un point de vue scolaire mais d’un point de vue relationnel. Je n’aime pas le comportement des ados de mon niveau, et je me sens plus proche des adultes ou des jeunes de mon âge que des gens de ma classe.
La meilleure comparaison pour exprimer ma solitude serait celle-ci : je suis une lumière bleue, alors que tous les autres êtres humains sont des lumières rouges. Je n’aime ni la mode, ni les frite de Mc Do, ni les blagues débiles, ni me moquer des gens différents des autres, ni les booms, ni fumer, ni boire pour braver les interdits, ni me coucher à minuit juste pour montrer que maintenant je suis grande.
Moi je ne trouve pas que se soit dangereux comme comportement, il est différent de celui des autres c’est tout, comme peuvent l’être l’apparence d’un africain et d’un chinois, ou celle d’une craie grasse et d’un crayon de bois : les deux premiers sont toujours des êtres humains, les deux derniers sont tous les deux des instruments pour dessiner. Mes parents s’en inquiètent, mais est-ce un crime que d’imaginer des histoires fantastiques pour oublier la dureté du quotidien et les railleries des autres ? Il me semble préférable d’imaginer des choses pour oublier, que boire, fumer, ou se droguer. Je ne pense pas de toute façon qu’ils s’inquiètent pour moi, mais plus pour eux, ils ont peurs. Parce que dans la rue tout le monde les montre du doigt, et les parents des autres élèves se moque de moi ouvertement devant eux.
Mon psy est de leur avis, à moins que se soit mes parents qui soient du sien. Mais le résultat est que je suis obligée de perdre mon temps à écouter ses sornettes pendant une heure. Une heure de torture ou il me dit de ne plus rêver, encore et encore. Mais plus il me le dira, plus je le ferais, encore et encore, parce que je ne crois pas que se soit mauvais de rêver. Personne n’a le droit d’interdire à quelqu’un de rêver. Et je continuerais jusqu’à la fin de mes jours à rêver, et je chercherais toujours quelqu’un d’autre, dont la lumière ne soit pas rouge.

1 Wen

Il était minuit lorsque le cri retentit, tel un défit, comme tous les autres.
Wen prit un oreiller et l’enfonça sur ses oreilles, il ne fallait pas qu’elle entende ce cri.
Elle se rendormit.
Elle se réveilla de nouveau. Le cri avait encore retentit. Le défit avait été relancé.
Il fallait faire quelque chose. Cette Bête faisait trop de carnage ! Depuis un mois elle contraignait les Elfes à rester cloîtrés dans leur habitation.
Elle pillait les cultures, terrorisait le peuple.
Il y eu un nouveau cri. « Allait, viens ! Viens te battre ! » Voilà ce qu’il signifiait.
La princesse ne pouvait plus dormir en sachant que d’autres personnes allaient mourir. Il fallait que quelqu’un, qu’ELLE fasse quelque chose. Qu’elle fasse son devoir.
Le Soleil se levait à peine.
Elle quitta le lit conjugal, embrasa Ehl, puis alla se vêtir.
Elle alla dire au revoir à ses enfants, Alahm et Stopya, quitta le foyer royal et se dirigea vers le palais.
Arrivée, elle sortit sa jument d’un box et la lava.
Derrière un paravent, quelqu’un l’épiait. Ce petit écuyer était rentré à leur service depuis deux ans. Elle fit mine de ne pas l’apercevoir, enfourchant élégamment la jument. L’écuyer n’avait jamais vu quelqu’un chevaucher aussi bien que sa Princesse et s’émerveilla une fois de plus en la voyant filer comme le vent.
Mais pourquoi partait-elle ? Dans son cœur une ombre passa. Il savait que c’était la dernière fois qu’il voyait ce spectacle, mais ne pu dire pourquoi.

Après avoir longuement chevauchée, Wen trouva la tanière de la Bête.
C’était sa vie ou celle de tous les Elfes, elle le savait très bien.
Elle sortit de son fourreau l’épée que son père lui avait léguée. Le chant de métal résonna deux secondes. La Princesse ne tremblait pas. Elle allait mourir. Elle allait sauver son peuple. Elle allait faire son devoir. Elle allait mourir. Elle était la seule à pouvoir tuer la Bête.
Wen s’approcha sans bruits de l’antre nauséabond de la créature, celle-ci l’attendait. La Princesse leva les yeux et vit ceux de la Bête, porcins, humides, brillants, flottant à deux mètres du sol.
Un rugissement, puissant, profond, terrifiant fit s’envoler les rares oiseaux restés dans la forêt. Le cri se répercuta d’arbre en arbre, tel un serpent il se faufilait dans tous les interstices, pour finalement atteindre la ville.
Commença alors un combat dur, violent, sanglant entre la Bête et la Princesse des Elfes.

Lorsque le combat débuta, le petit écuyer resté à Lucialës entendit le rugissement poussait par la Bête. Il jura en elfique tout en se précipitant vers le foyer royal.
- Prince ! Mon Prince, se mis-t-il à crier quand il fut en vu du foyer.
Ehl apparut dans l’embrasure de la porte.
- Que ce passe-t-il, bailla-t-il.
- C’est la Princesse, elle est…
Le Prince avait levait deux doigts pour intimer à l’écuyer de se taire. Alahm apparut dans l’ombre, à côté de son père. Encore à moitié endormit, il posa la même question qu’Ehl avant lui.
- Retourne dans ta chambre, lui répondit Ehl gentiment.


Quand ils arrivèrent dans la clairière, il était trop tard.
Stopya se tenait debout, droite et rigide, à côté du cadavre de sa mère.
Quelques mètres plus loin gisait la Bête ensanglantée que la Princesse avait tuée avant de mourir.
Ehl prit sa fille dans ses bras et ne retint pas ses larmes.


2 Wen

Wen se leva et regarda autour d’elle.
Elle flottait à plusieurs mètres au dessus du sol, à travers ses pieds translucides, elle pouvait voir quelques soldats, Stopya ainsi qu’Ehl qui tenait maintenant dans ses bras le corps de la Princesse. Son corps.
Stopya était là, elle n’aurait pas dû lui dire au revoir.
Une perle nacrée se forma au coin de l’œil de Wen, elle ne devait plus regarder.
Elle partit lentement en volant au dessus de l’Ithilîle. Plus elle avançait, plus le décor se décolorait et disparaissait.

Elle arriva devant une petite porte qu’elle contourna aisément. Il n’y avait rien derrière. Wen revint devant la porte et l’ouvrit. Le fond était identique. Elle passa l’embrasure de la porte et se retrouva dans un vide sans fin. Il n’y avait qu’un seul objet dans le vide : un fil. La Princesse sauta dessus, mit un pied devant l’autre et avança tel une funambule.
Elle se mit à compter : 1, 2, 3, …
Des formes blanches apparurent de tous les côtés mais Wen préféra les ignorer. Elle porta tout de même sa main sur la garde de son épée.
20, 21, 22, 23, ...
Elle avançait en terre inconnue et tous les spectres la regardaient. Elle en était gênée. Deux minutes plus tard ils disparurent, laissant Wen seule dans le noir. Celle-ci continua d’avancer, toujours sur ses gardes.
89, 90, 91, 92, …


Elle savait qu’elle allait mourir. Elle l’avait quand même fait. Mais ce n’était pas le moment de regretter ; car regretter est une perte de temps.
120, 121, 122,…, 133, 134, 135, …, 140, 141, 142, 143, 144.

Des caissettes apparurent sur sa droite. Wen resserra l’étreinte de sa main sur la garde de l’épée. Le couvercle des deux boîtes se souleva et resta suspendu dans les aires quelques centimètres plus haut. Deux énormes serpents sales et visqueux sortirent des boîtes. La Princesse sortit son épée du fourreau, ravie, cette dernière chanta. Elle chanta son chant de guerre. Elle chanta le chant du fer et du sang.
Les serpents s’étirèrent, déplièrent lentement leurs horribles anneaux visqueux et poisseux. Ils jouaient avec la Princesse. Ils ne la quittaient pas de leurs yeux jaunâtres. Elle non plus ne les lâchait pas des yeux.
Wen se mit en garde, attendant l’attaque des deux ovipares qui se mirent à tourner autour d’elle.

LES ETOILES

Ou La Porte du Monde Dreamal

3 Sophie


Vendredi six juin,
Il faisait si chaud et il y avait tant de nuages dans le ciel !
Sophie, treize ans, assise sur le siège passager de la Galaxie blanche rêvait de chose et d’autre, plongée dans une agréable torpeur. Elle venait d’aider sa mère à faire les courses et avait déniché deux ou trois Bandes Dessinées qui avaient l’air assez intéressantes.
Alors qu’elles sortaient du parking du supermarché, l’orage qui menaçait depuis le début de la matinée éclata juste au dessus de leur tête et des trombes d’eau tombèrent du ciel.
Il n’y avait pas un chat sur la route de Flesselles à Bertangles, contrairement à d’habitude. Elles étaient seules. Toute seule.

Pendant que Fanny, la mère de Sophie, s’acharnait à trouver une radio qui ne parlait pas du Tour de France, sa fille commentait dans sa tête les courses que les gouttes d’eau produisaient sur les vitres de sa portière. La voiture, qui tanguait dangereusement sous les puissantes bourrasques du vent, commença à partir sur la voie de droite comme Fanny était concentrée sur la radio. Sophie arrêta vite son jeu car il pleuvait tellement qu’elle ne pouvait plus suivre les concourantes des yeux, mais aussi parce que le tangage lui donnait mal au cœur. Elle se mit donc à observer scrupuleusement le peu de paysage qu’elle pouvait entrevoir à travers le rideau de pluie, lorsqu’elle s’aperçue que la voiture roulait de travers. Elle pâlit légèrement sous son bronzage, faisant remarquer à sa mère qu’elles roulaient sur la mauvaise voie.
- « S’cuse moi », grommela Fanny pas du tout attentive.
La jeune femme reporta toute son attention sur la route, bien que n’ayant pas trouvait la radio qui lui convenait. Alors qu’elle virait à droite pour retourner sur la bonne voie, quelque chose les percuta de plein fouet.
Sophie poussa un cri strident pendant que Fanny écrasait la pédale du frein. La chaussée étant mouillée la Galaxie blanche décida de faire quelques tours sur elle même avant de plonger à moitié dans le bas-côté, ce qui acheva de donner mal au cœur à Sophie qui porta la main devant sa bouche, réprimant un haut le cœur de justesse. Quand la voiture arrêta de bouger, Sophie, grimaçante, plongea sa tête en arrière pour mieux respirer puis vérifia qu’elle n’était pas blessée.
- Ouf ! Soupira la jeune fille soulagée.
Puis elle tourna la tête vers sa mère avec un affreux pressentiment. De toutes évidences Fanny avait perdu connaissance. Sa tête était enfoncée dans l’air bag, qui était sortit du volant lorsque la chose les avait heurtées. Sophie se demanda quoi faire. « Se calmer, tout d’abord se calmer…respirons calmement, umffffff, pfffffou ! Bien alors ? »
Elle regarda sa mère quelques secondes puis sortit de la voiture. Il pleuvait toujours dehors. Elle ne vit rien sur la chaussée, aucun cadavre, aucun objet. Elle remarqua alors quelque chose de bizarre mais n’en fit pas cas.
La jeune fille fit le tour de la voiture, le capot était creusé en son milieu comme si une grosse pierre invisible lui était tombée dessus. Vraiment bizarre. Non, étrange plutôt.
Sophie ouvrit la portière de sa mère puis elle attrapa Fanny du mieux qu’elle pu (sous les épaules) et se mit à tirer dessus pour essayer de la faire sortir de la voiture. Elle peinait depuis deux minutes lorsqu’elle comprit pourquoi. Bien sûr ! Elle avait oubliée de détacher la jeune femme.
- Grgngn, qu’elle idiote je fais, bougonna-t-elle en se battant avec l’air bag pour qu’il la laisse passer. Pas moyen d’atteindre la ceinture de sécurité de sa mère, non, elle n’y arrivait vraiment pas. Furieuse elle donna un coup de pied rageur dans la portière. Cela ne changea rien, mis à part que maintenant elle avait mal au pied gauche.
- Bon, dit Sophie, tout en regardant ses mains commencer à trembler. Je ne peux pas la sortir. D’accord. Mais elle va étouffer si je lui laisse la tête dans ce maudit ballon !
Une idée germa dans sa tête. Elle retourna à son siège. Un point d’aventure pour Sophie : elle pouvait détacher sa mère, ce qu’elle fit dans l’instant.
- Une bonne chose de faite ! Mais je ne peux toujours pas la sortir de là.
Sophie passa ses bras sous la poitrine de sa mère et souleva son buste, la tête émergea du ballon quelques instants, puis elle retomba dedans, suivit du reste du haut du corps de Fanny. Sophie refit quelques tentatives, elle parvint à caler la tête de sa mère contre la fenêtre de la portière. Déjà sa mère était hors de danger, d’une certaine manière. Sophie chercha sous le siège conducteur une petite manette qu’elle abaissa en poussant de toutes ses forces sur le siège. Celui ci finit par céder et tomba à la renverse, Fanny était maintenant allongée. La jeune fille fit de même avec les sièges de la banquette arrière, ainsi elle pouvait se déplacer dans toute la voiture sans être mouillée.
Sophie s’accorda un moment de répit, à moitié allongée sur la banquette arrière. Elle avait mit Fanny en position latérale de sécurité et essayait maintenant d’organiser ses idées. Il fallait qu’elle prévienne quelqu’un, et il fallait qu’elle mange ou qu’elle ait quelque chose dans la bouche pour la dé-stresser.
Elle chercha longuement dans le sac des courses s’il n’y avait pas un ou deux paquets de chewing-gum ou de sucettes mais ses recherches furent un échec. Elle se rabattit sur sa deuxième priorité et se mit en quête d’un portable. Elle n’en avait pas elle même mais sa mère en avait un, elle en était sûr. Elle attrapa fébrilement le sac de sa mère, ses mains se mirent à trembler encore plus, si cela était possible.
- Maman ? Maman, tu m’entends ?
Sophie avait beau trifouiller dans toutes les poches du sac à mains elle ne trouvait rien.
- Tu le range où ton fichu portable ?cracha Sophie sur sa mère.
Soudain, elle sentit un contact glacé. Les clefs de la maison !! Elle pourrait peut-être…. Non, mais elle était vraiment bête ! Dégonfler, crever, un air bag avec des clefs de maison ! En plus maintenant que Fanny ne s’y asphyxiait plus, il était inutile de le dégonfler. Sophie reprit de plus belle l’exploration du sac de sa mère. Eclater un ballon avec des clefs n’était pas une bonne idée, cela agrandirait la liste de ces imbécillités, cela faisait d’ailleurs longtemps qu’elle ne l’avait pas remise à jour. Elle se mit à rire doucement, elle pensait vraiment à n’importe quoi, elle devrait plutôt se concentrer sur le portable. Cinq minutes plus tard le contenu du sac à mains avait été généreusement étalé sur le siège passager, comme on étale du Nutella sur une tartine.
Mais elle avait beau chercher, elle ne trouvait pas le portable salvateur.
- Maman !geignit Sophie, ne me dit pas que tu l’a encore oublié ! Je ne vais pas me taper trois cent kilomètres, non en fait sûrement beaucoup moins, mais pas sous la pluie ! Et de toute manière, je ne peux pas te laisser toute seul, contre-attaqua la jeune fille toute seule.
Une deuxième idée germa alors dans la tête de Sophie. Mais avant de réfléchir à comment la mettre en œuvre, elle entendit faiblement un « tululut, tululut » presque couvert par le bruit de la pluie sur le toit de la voiture. Sophie sursauta, quoi ? Le portable était finalement dans la voiture ? Mais où ? Et Sophie retourna Monts et Vaux à la recherche du portable. Elle comprit que le son venait de son siège, mais elle ne trouvait pas le portable. Elle avait beau passer ses mains dans toutes les interstices elle ne trouvait rien. Le portable se tu soudainement mais Sophie continua ses recherches. Mais où était-il !? La jeune fille s’étrangla, hésitant entre rire et pleurer.
Le faible « tlululut, tulut » se fit de nouveau entendre. Sous le siège, mais bien évidemment ! Le portable se trouvait sous le siège ! Mais pourtant elle y avait regardait maintes et mainte fois sans rien voir. Il avait du glisser du sac à main qui était resté ouvert lorsque la voiture avait jouée à la toupie. Sophie releva si bien le siège passager qu’il se plia en deux, puis appuyant sur une deuxième manette, elle réussit à la relever un peu pour pouvoir attraper le portable avec sa main libre. Sophie était tellement contente qu’elle lui donna trois baisers avant de décrocher.
- Allô?
- ….
- Allô allô?
- ….
Soudain Sophie eu l’impression que quelqu’un la regardait, quelque part, n’importe où. Un silence pesant s’installa confortablement dans la voiture.
- Au revoir, chuchota Sophie en raccrochant.
Allons-y, que valait-t-il mieux appeler ? La cavalerie ? Le SAMU ? Les pompiers ?
Sophie opta pour ces derniers. Il arrêta de pleuvoir dehors, Sophie pus donc sortir de la voiture et l’aérer, car le chauffage était resté allumé à l’intérieur et elle ne savait pas l’éteindre.
Pendant qu’une jolie voix de femme racontait gaiement le discours initial, Sophie pensa qu’elle aurait eu le temps de mourir trois fois, mais se retint de le dire à la standardiste qui décrocha ensuite.

3 bis

Sophie inspira un grand coup. L’air était encore humide dehors, malgré tout il ne faisait pas froid. Elle venait de téléphoner aux pompiers, ceux-ci arriveraient d’un moment à l’autre.
Lorsqu’elle avait racontée les causes de l’accident à la standardiste, celle-ci avait eu du mal à la comprendre.
- Quoi ? Comment ça vous avez cognée quelque chose mais il n’y a rien sur la chaussée, et un gros enfoncement dans votre capot ?
Sophie avait mis une heure, enfin presque, à convaincre la femme au bout du fil qu’elle non plus ne comprenait pas et que, oui, elle était sûre de ne pas s’être évanouie une minute ou une heure.

Sophie se souvint alors de la bizarrerie qu’elle avait remarquée lorsqu’il pleuvait. Elle inspecta la route pour la énième fois, mais elle ne vit toujours rien.

Les pompiers arrivèrent un quart d’heure plus tard car ils avaient eu du mal à localiser l’appel de Sophie, perdue au milieu de la campagne picarde. Ils arrivèrent avec deux ambulances rouges et hurlantes. Ils s’arrêtèrent à six mètres de la voiture et cinq ou six hommes ou femmes sortirent des camionnettes.
Sophie était toujours dehors, elle leur expliqua de nouveau la situation. Un pompier plus vieux que les autres sortit un appareil photo et se mit à mitrailler la voiture qui se trouvait au beau milieu de la route.
De toute évidence les pompiers aussi étaient gênaient par le trou dans l’avant de la Galaxie. Ils sortirent des ambulances un brancard blanc sur roues pour transporter Fanny – soit dit en passant, ils avaient réussis à dégonfler l’air- bag. Ils transposèrent la jeune femme sans mal de son siège au brancard. Une jeune femme brune, aidée d’un grand homme âgé d’une quarantaine d’années, firent ensuite rouler le brancard vers l’ambulance.
Le tout était rapide et efficace. Sophie était montée dans le premier fourgon quand soudain les deux pompiers qui poussaient le brancard s’arrêtèrent comme gêné par quelque chose. L’homme fronça ses sourcils en contournant le brancard, mais il n’y avait rien devant les roues, même pas un petit caillou. Il fit un petit signe de main à sa coéquipière pour qu’elle pousse le brancard. Celui-ci ne bougea pas d’un pouce.
Le vieil homme à l’appareil photo vint à leur rencontre pour connaître le problème, pendant que les trois autres personnes qui étaient sorties des camionnettes cherchaient une explication à l’accident et au trou dans le capot de la voiture.
Le plus grand était un policier nommé Jim. Sophie le connaissait bien car sa femme avait accouchée à la Maternité St Victor, à Amiens, et ce fut Fanny qui s’occupa de l’accouchement en tant que Sage Femme. Il y avait eu un problème, mais le bébé avait survécu, et depuis les deux femmes étaient restée amies.


Le vieil homme se pencha devant le brancard, posant sa main par terre. Ou du moins essayant de poser sa main par terre, car il avait beau essayer rien n’y faisait, il ne pouvait pas toucher le sol. Il prit alors conscience que l’asphalte, sur une bande irrégulière d’environ deux mètres sur trente centimètres, était sec.
- Impossible ! Murmura-t-il.
Jim tourna aussitôt la tête pour voir ce qui se passait et approcha à son tour du brancard sur lequel reposait Fanny.
- Que se passe-t-il ? demanda-t-il d’une voix autoritaire.
- Regardez vous-même, répliqua le Capitaine, vous m’en direz des nouvelles.
Jim s’accroupit et regarda à terre. Il aperçut à son tour la bande d’asphalte sèche. Le vieux Capitaine donna un ordre et l’homme et la jeune femme qui poussaient le brancard contournèrent la portion de route sèche pour amener Fanny dans la même camionnette que Sophie. Celle-ci passa sa tête par la fenêtre pour observer ce qui se passait dehors.
Les deux pompiers qui discutaient avec Jim étaient montés dans la voiture pour l’inspecter. Ils attendraient là le fourgon de dépannage.
Tout les autres étaient rentrés dans les deux camionnettes, seul Jim et le vieux Capitaine était restés dehors.
Un éclair lacéra le ciel, suivit d’un anormal roulement de tonnerre qui fit sursauter Sophie. Ce qui était en train de se passait avait quelque chose d’étrange. Quelqu’un ou quelque chose quelque part s’amusait bien.
- Quelles sont vos explications ? demanda le Capitaine à Jim.
- J’en ai beaucoup, mais vous n’en croirait aucune, susurra Jim de telle sorte que personne ne l’entendit.
- Que doit-on faire selon vous ?
- …, le lieutenant paraissait réfléchir.
Un nouveau coup de tonnerre ébranla le ciel, il se remit à pleuvoir, mais moins puissamment que la dernière fois.
Jim abaissa sa capuche sur ses cheveux bruns coupés courts, tandis que le pompier rangeait son appareil photo dans un étui étanche. La pluie ne touchait toujours pas l’asphalte gris clair. Jim mit sa main sur la bande sèche mais fut stoppé par la même chose que le fut la main du Capitaine et le brancard avant lui. La chose semblait molle, il y avait des bosses et des creux. Lorsqu’on appuyait dessus le machin s’affaissait un peu puis devenait dur. Jim connaissait bien cette sensation, cela faisait des années qu’il s’entraînait à la reconnaître. Il sourit en promenant sa main le long de la bande gris clair. Il s’arrêta un moment sur quelque chose, fit un geste bizarre de la main, puis la retira en grimaçant. Il parut soudain effrayé.
- Alors, s’impatienta le vieux pompier, qu’est ce qu’on fait ?
- On la ramasse.
- Comment ça ‘’on la ramasse’’ ?
- Regardait la pluie, mon Capitaine, pendant ce temps là j’ai un coup de fil à passer.

je veu bien copier coller tout mais personne ne la lit;...
la suite?? ah la suite.... tu a eu les quarante première page, contente tois-en pour l'instant.
dism oi plutôt si tes amis l'aime ou pas?

Il y a certians passages que je n'ai pas eu à corriger. Je me trompe ?

non tu ne te trompe pas.

bon comme personne ne lit, eh bien je vais mettre les petits passages que j'ai coupé ou modifiés, comme ça ce qui connaisse pourront les lirs pour s'amuser! na!!!


la un extrait de la Geste des Hommes, quand Sophie retourne sur Terre pour la première fois ( oui sa vous avez pas encore lu, c'estp our mettre l'eau à la bouche des AFAFAPI, qui ne viendront surement pas mais tant pis.... sa veut dire que je peu faire ce que je veu sur mon topic !!!!!!!!!! yes..... j'aimerais trop inventer un programme pour me faire un petit bonhomme, et quand les autres arrive il le voit grimper partout sur la page etc....)

Alors seulement Sophie reconnu là où elle était. Elle était bien à Canne. Et une salle aussi grande ne pouvait se trouver autre part qu’au Palais des Festivals. Elle avait déjà assistée à un festival du jeu et connaissais bien cette partie du palais. Il fallait donc qu’elle trouve la sortie des artistes. Elle se promena quelques instants dans le palais, plus par curiosité que par nécessité. Que c’était étrange de le voir ainsi, vide de stand. Elle en était presque perdue. Ces pas la menèrent jusqu’au bar. Elle fit demi tour en râlant contre elle-même, elle se trouvait maintenant à l’autre bout du palais, et de la sortie des artistes. Elle revint sur ses pas et trouva la sortie sans problèmes. Le couloir qui menait aux loges n’était séparé de la salle que par un lourd rideau bleu. Sophie le poussa sans problème, sa lampe torche improvisé s’engouffra devant elle pour l’éclairer. Il n’y avait aucun garde à l’horizon.
La lumière trouva le bon escalier avant Sophie, elle l’attendit patiemment. Avant de monter Sophie essaya de sonder l’escalier, mais la faible puissance de la Poésie sur Terre ne put l’informer de rien.

Sophie ouvrit la portière de sa mère puis elle attrapa Fanny du mieux qu’elle pu (sous les épaules) et se mit à tirer dessus pour essayer de la faire sortir de la voiture. Elle peinait depuis deux minutes lorsqu’elle comprit pourquoi. Bien sûr ! Elle avait oubliée de détacher la jeune femme.

- Grgngn, qu’elle idiote je fais, bougonna-t-elle en se battant avec l’air bag pour qu’il la laisse passer. Pas moyen d’atteindre la ceinture de sécurité de sa mère, non, elle n’y arrivait vraiment pas. Furieuse elle donna un coup de pied rageur dans la portière. Cela ne changea rien, mis à part que maintenant elle avait mal au pied gauche.

- Bon, dit Sophie, tout en regardant ses mains commencer à trembler. Je ne peux pas la sortir. D’accord. Mais elle va étouffer si je lui laisse la tête dans ce maudit ballon !

Une idée germa dans sa tête. Elle retourna à son siège. Un point d’aventure pour Sophie : elle pouvait détacher sa mère, ce qu’elle fit dans l’instant.

- Une bonne chose de faite ! Mais je ne peux toujours pas la sortir de là.

Sophie passa ses bras sous la poitrine de sa mère et souleva son buste, la tête émergea du ballon quelques instants, puis elle retomba dedans, suivit du reste du haut du corps de Fanny. Sophie refit quelques tentatives, elle parvint à caler la tête de sa mère contre la fenêtre de la portière. Déjà sa mère était hors de danger, d’une certaine manière.



on m'a fait remarqué que c'était peu probable après un accident... en effet. je voulais faire un truc interessant mais en fait j'ai toujours trouvée sa nul. je préfère quand ils sont sur codée.




Il fallait qu’elle prévienne quelqu’un, et il fallait qu’elle mange ou qu’elle ait quelque chose dans la bouche pour la dé-stresser.
Elle chercha longuement dans le sac des courses s’il n’y avait pas un ou deux paquets de chewing-gum ou de sucettes mais ses recherches furent un échec. Elle se rabattit sur sa deuxième priorité et se mit en quête d’un portable.
comme si elle pouvait manger un chewing gum dans son état! depuis que je lis fascination etc, et l'histoire d'Eraneon, je me sens ridicule... j'écris trop mal.





Je ne vais pas me taper trois cent kilomètres, non en fait sûrement beaucoup moins, mais pas sous la pluie ! Et de toute manière, je ne peux pas te laisser toute seule, contre-attaqua la jeune fille.



Ca faisait pas sérieux. je suis gentille et je vous fait grâce des mots supprimés (comme deuxième... toute seule...)

Mais pourquoi se sentir honteuse après avoir lu Preuve d'Amour bon sang ? Chacun son style, chacun son écriture et chacun son expérience aussi ! Personnellement j'ai toujours pensé qu'il fallait que tu attende, que tu ranges les Etoiles dans un tiroir et que tu laisses passer quelques années d'écriture. En reprenant les Etoiles, tes erreurs scénaristiques ou stylistiques te sauteront aux yeux ! Mais arrête donc de dire que tu écris mal en te comparant à moi, il n'y a rien de comparable !

mais oui... et non je ne veux pas attendre, c'est hors de question. après j'oublierais ce que je voulais faire et du coup je changerait tout. je veux que ce soit cette histoire, pas une autre. j'ai peur qu'après elle change tellement que ce ne soit plus là même. je changerait bien sûr encore des choses, je suis consciente que ce n'est pas parfait. mais je ne veut pas prendre le risque de modifier l'histoire.

On oublie jamais ce pour quoi on commence à créer... c'est comme si tu disais que tu allais oublier, le moment venu, que tu conçois un enfant... c'est idiot.
Si tu ne veux pas attendre, alors laisse au moins interférer ton expérience créatrice et littéraire dans ton œuvre. Chaque nouveau mot appris, chaque faute d'orthographe corrigée, chaque avis d'une personne de confiance (quelqu'un en qui tu as confiance et qui te donnera son véritable avis, quel qu'il soit), tout peut être prétexte à la modification, à la genèse de ton œuvre. Tu viens de mettre au monde ton enfant, il ne te reste plus qu'à l'élever pour qu'il puisse voler de ses propres ailes.
Malherbe disait à ses disciples "Cent fois sur le métier, remettez votre ouvrage". Plutôt que l'image de l'enfant, il choisissait celui du vêtement complexe que l'on s'appliquerait à tisser, et donc on corrigerait chacune des imperfections pour finalement arriver à un résultat satisfaisant.

En reprenant l'image de l'enfant, je dirais aussi qu'il existe deux extrêmes qui sont à mon avis à éviter en littérature : les parents qui veulent trop vite lâcher leur enfant, et ceux qui voudraient attendre trop longtemps avant de le laisser voler de ses propres ailes.
> Un travail trop vite publié est souvent bourré d'imperfections. Selon le talent et l'expérience de son auteur, elles peuvent aussi bien être minimes, presque invisibles, que grossières. Parfois, les relecteurs des maisons d'éditions les laissent passer, sous prétexte d'une mauvaise connaissance de l'esprit de l'auteur ; mais il ne faut pas prendre les lecteurs pour des abrutis, et garder à l'esprit qu'à force de relecture, ils les verront.
> Un travail voulu trop parfait sera trop lourd. Laisser au lecteur l'impression qu'une part du travail littéraire reste à sa charge, c'est se le mettre dans la poche : éviter de les prendre pour des cons, à tout prix, quitte à se laisser, à titre d'auteur, un goût d'inachevé sur certains passages, oublier volontairement certaines descriptions qui seraient inutiles bref, garder à l'esprit que le lecteur a un cerveau et sait s'en servir pour plonger dans l'univers et comprendre sans passer par d'interminables explications. Le trop parfait ne plait pas.

Maintenant, on ne peut pas t'en vouloir de vouloir garder une cohérence dans ta trame d'intrigue... qui d'ailleurs n'a aucune raison d'être changée.

Excuse-moi pour la longueur, je sors d'une conférence sur le roman fantastique et heroic-fantasy alors j'ai des restes...

et ma mère qui me disait hier que l'on voyait les Poètes à l'influence qu'ils avaient de leurs expériences extérieurs... en voilà une preuve.

je suis tout à fait d'accord, mais il y a deux points à revoir un peu: en fait je voudrais publier ce livre pour mes parents, donc si je pouvais publier une première version, même pas presque parfaite, je serais contente. et en plus c'estm oi qui ait pris l'initiative.
mais c'est vrai qu'il y a autre chose à attendre du temps.
pour finir je dirais que j'ai déjà perdues de nombreuses intrigues d'histoires, commencée et que quand j'ai ovulue les finir je ne savait même plus ou je ovulais arriver. au début les etioles devait d'ailleurs être l'histoire de Wensaïlie... c'est pas grave, se sera pour plus tard.

ou se tenait cette conférence? j'aurais aimée y aller!!! la prochaine fois parles-en sur le fof qu'on le sache (la je te gronde)

Le plus grand était un policier nommé Jim. Sophie le connaissait bien car sa femme avait accouchée à la Maternité St Victor, à Amiens, et ce fut Fanny qui s’occupa de l’accouchement en tant que Sage Femme. Il y avait eu un problème, mais le bébé avait survécu, et depuis les deux femmes étaient restée amies.

tu vois c'est amusant que tu ais parlé de description inutile: je n'aimais pas ces trois phrases...

La conférence se tenait à la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles) toute la journée de Mardi. Et je n'ai été prévenu que la veille au soir par un ami de la fac.

mouais.... la prochaine fois il devra nous en parler plutôt hun!!

Jim mit sa main sur la bande sèche mais fut stoppé par la même chose que le fut la main du Capitaine et le brancard avant lui. La chose


Pendant ce temps les trois policiers continuaient à chercher une explication à l’accident et au trou dans le capot de la voiture

La deuxième fourgonnette démarre

Il avait laissé la radio allumé mais il n’y avait toujours aucun signe de vie dans l’autre camionnette.

Quelqu’un ou quelque chose quelque part s’amusait bien.

Ils suivirent l’autre ambulance en faisant très attention car la pluie avait rendue la chaussée extrêmement glissante. Il y eu quelques minutes de silence puis lorsque Jacques ce fut habitué à la faible visibilité qu’offrait la pluie malgré les rayons du Soleil qui perçait les nuages :

Il s’interrompit un instant, surprit car il venait de se rendre compte que Sophie l’avait vouvoyé alors qu’ils s’entendaient pourtant bien. Défiant quiconque du regard de s’interposer pour le contredire il reprit :

- Le gars derrière n’est au courant de rien et il ne saura rien, puisque vous ne lui direz rien, puisque vous ne saurez rien.

Sophie sourit dans l’ombre : Jim avait beau faire croire qu’il savait tout et contrôlait la situation, il n’était pas si à l’aise que ça. Mélanie tressaillît, elle pensait sans doute la même chose que Sophie.

Celle-ci était ravie de voir qu’elle mettait Jim dans une position inconfortable, elle avait toujours aimée faire mijoter les gens et ses amies était d’accord pour dire que, même si s’était énervant, Sophie avait une perspicacité très développé lorsqu’il s’agissait de lire dans la tête des gens.

bien sur j'enlèvrais tout ces trucs trop nul une fois que j'aurais finit... je mettrais l'autre version, V2 comme dirait Eraneon, comme ça vous pourrez comparer à la première et me dire celle que vous préférez.

arriva en tempête

admettez que c'est beaucoup plus amusant qu'arriver en trombe...

Jim était pris, il ne voulait pas continuer à parler avec Sophie dans la pièce, mais il ne pouvait pas désobéir au Maréchal, pas si près du but.

Une infirmière toqua à la porte et entra avec le petit déjeuner de la jeune fille sur un plateau en plastique.
Après avoir déposé le plateau sur une table roulante à côté de la jeune fille l’infirmière sortit laissant ainsi Sophie seule avec John Dauze et le sergent. Celui-ci paraissait sur ses gardes, prêt à faire usage de son arme à tout moment.

je dois changer beaucoup plus de choses que ce à quoi je m'attendais, mais j'aime bien; c'est un peu comme un dessin: au lieu de gommer je change un mot, une phrase, pour arriver à un meilleur résultat.

Je l'ai toujours dit... un mot, ne serait-ce qu'un mot rend une phrase plus agréable...

oui.

enfin, agréable... parfois les choses sont dites de manières très claires mais sont désagréables ou horrifiante à lire.
j'ai de nombreux exemples en tête...


Non ! Elle avait du prendre un coup et maintenant elle divaguait. Cependant, elle était anxieuse devant son propre flegme. Il y avait un problème. Un pépin comme on dit, un pépin bien coincé dans un mécanisme et ce dernier ne se remettrait pas en marche tant que ce pépin serait là. Mais le pépin était une aiguille dans une botte de foin et Sophie ne la trouvait pas, elle savait pourtant où chercher.

Surveille toujours tes arrières, ne fait pas la même erreur que moi.

Soudain, elle sentit un contact glacé. Les clefs de la maison !! Elle pourrait peut-être…. Non, mais elle était vraiment bête ! Dégonfler, crever, un air bag avec des clefs de maison ! En plus maintenant que Fanny ne s’y asphyxiait plus, il était inutile de le dégonfler. Sophie reprit de plus belle l’exploration du sac de sa mère. Eclater un ballon avec des clefs n’était pas une bonne idée, cela agrandirait la liste de ces imbécillités, cela faisait d’ailleurs longtemps qu’elle ne l’avait pas remise à jour. Elle se mit à rire doucement, elle pensait vraiment à n’importe quoi, elle devrait plutôt se concentrer sur le portable.
le passage trop nul.

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Mélanie et Jacques auraient du se douter qu’il y avait quelque chose de louche, ils auraient du se demander pourquoi les feux de détresses de la voiture du vieux capitaine était allumés. Mais ils étaient rentrés par derrière et la voiture du capitaine se trouvait devant.
encore un passage mauvais...

Le conducteur tourna la tête pour regarder la jeune fille, ne faisant plus attention à la route. Sophie retint un cri de terreur et ordonna à Jim de regarder la route, un accident par jour suffisait. Julien sourit discrètement devant la furie soudaine de la préadolescente bon ce passage est un peu inutile, je l'aimais bien, mais je trouve qu'il ne sert a rien. quand je vais relire l'histoire je vais avoir l'impression de l'avoir amputée!!

A force d'enlever il restera pas grand'chose lol
Je viens de rajouter une majuscule au titre ma petite Wenny. c'est meiux ainsi ^^

Eraneon a écrit:

A force d'enlever il restera pas grand'chose lol
Je viens de rajouter une majuscule au titre ma petite Wenny. c'est meiux ainsi ^^

Si tu veux mettre des majuscules partout mets en à C'est.
Mdr, et si il reste des choses puisqu'il doit y avoir deux ou trois pages en plus ^^

ahhhhh c'est malin!!!!
MOi je pensait que c'était pas une seule histoire mais trois consécutives!!
dépêches toi de finir la suite. et trouve vite un éditeur!!!!